« Tukkiman défend une approche humaniste et universelle de la musique, lui qui se définit comme un citoyen du monde… » 
Auteur, compositeur, arrangeur, multi-instrumentiste et autodidacte, Tukkiman livre un premier album éponyme, Tukki. Il y défend une approche humaniste et universelle de la musique, lui qui se définit comme un citoyen du monde. À cause de son héritage sans doute. À la fois, il appartient à cette première génération d’artistes sénégalais biberonnés au hip hop américain ou à la pop anglaise. Un environnement qui le façonne, forge pour lui cette identité musicale suspendue, en perpétuel devenir. Dans les années 90, il apprend seul à jouer de la guitare.
Puis, toujours en dilettante, il s’essaie au piano, écrit ses premiers textes, monte son propre studio. Littéralement, il trouve asile dans la musique
et définit les contours de son propre style.
Aujourd’hui, dans ce premier jet musical en solo, il délivre une production hybride, mâtinée de compositions inspirées, ambitieuses et abouties.
« JE N’ÉCRIS PAS MES CHANSONS, C’EST LA MUSIQUE QUI ME LES DICTE »
Et lorsqu’il s’agit du processus de création, Tukkiman contourne la fabrique des lieux-communs, des préjugés. Il envoie valser toutes ces cases dans lesquelles ses observateurs aimeraient le cantonner.
Car comme sa musique, Tukkiman est libre. Libre de s’exprimer en anglais et si peu en wolof par exemple.

Témoignage de Tukkiman