Arts de la scène

Makhtar – Musique – Pop / Hip-hop / Jazz
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Makhtar – Musique – Pop / Hip-hop / Jazz

Un groove lancinant, une sincérité à fleur de peau, une voix affirmée, reconnaissable entre mille. Cette voix qui en a connu des vertes et des pas mûres, c’est celle de Makhtar, né en 1990 à Dakar, dans une famille très pauvre. Le soir, les enfants chantent ensemble « pour oublier les soucis ». De ces veillées, Makhtar garde une passion pour la musique qui se concrétise dès l’adolescence.

Il écrit ses premiers morceaux, sait chanter et rapper, joue des percussions, puis sort quelques singles auto-produits tout en participant à des concours de talents comme Hip Hop Feeling, un show TV national. A l’issue d’une de ces émissions, on lui propose un visa pour tenter sa chance en France. Fin 2014, le voici arrivé à Paris, face à son destin et aux obstacles à franchir. Il n’a pas un sou en poche. Pas de travail, pas d’appartement. Il dort quelques nuits dans le métro… « Être dans un pays où l’on ne connaît personne, c’est douloureux… », se souvient-il. Mais il s’accroche à sa bonne étoile. En 2015, un ami lui présente le directeur du cabaret Aux Trois Mailletz, où sont jadis passés Zaz, Dany Brillant et Nina Simone. Banco, son audition convainc et il est engagé comme chanteur.

Toutes les nuits, il y gagne un nouveau public. Un baptême du feu qui renforce sa conviction artistique et son charisme scénique. Et lui permet de faire des rencontres, et le voici en studio.

« J’ai envie de partager mon vécu sur un fond pop, afin que l’auditeur ne perde jamais le sourire », confie le chanteur. En témoigne son premier single, « Blah Blah », condensé tubesque de pop plurielle et universelle racontant « le manque de communication, les petites incompréhensions du quotidien des couples d’aujourd’hui ». Parler à tous en cultivant son propre style, voilà le secret de Makhtar. Inconsciemment ou non, ce premier album sera nourri de toutes ses influences, du roi de la pop Michael Jackson au reggae collectif de Morgan Heritage en passant par Youssou N’Dour, Salif Keita ou Maître Gims.

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Emma Tostivint – musique – du monde
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Emma Tostivint – musique – du monde

Emma est une jeune artiste auteur compositeur qui commence tout juste à faire ses pas dans le milieu de la musique. Fraichement débarquée à Paris il y a 1 an avec pour challenge oser se produire devant un public et partager ses compositions, elle joue aujourd’hui dans le métro, travaille sur son premier album original et commence à faire quelques petites scènes parisiennes. Grande voyageuse et se voyant comme citoyenne du monde, elle s’inspire de sa vie personnelle et retranscrit sa vision de la vie dans ses morceaux. Concernant son style musical, elle dit « je ne sais pas si ma musique se limite à un style particulier, je suis dans une phase d’exploration. Je compose au feeling, je me laisse guider par les émotions qu’une suite de sons provoque en moi, et lorsqu’il se passe quelque chose, je me pose et je développe l’idée. Je dirais que ma musique est une musique douce, sensible mais affirmée, qui parle d’expériences ou de réflexions personnelles, plutôt épurée ». Elle puise son inspiration dans la musique d’artistes comme Ben harper, Tracy Chapman, Lauryn Hill, Selah Sue, Nneka et aussi dans la musique d’Afrique de l’Ouest ( Diogal sakho, Habib Koité, Youssou N’dour, Dobet Gnahoré…) qui l’ont toujours bercée. « J’aime les mélodies et les paroles simples, sans trop de nappes instrumentales, l’essentiel pour moi c’est de toucher les gens, transmettre des émotions, et alors c’est gagné »

 

 

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Adella – Musique – Rock / Dream / Pop
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Adella – Musique – Rock / Dream / Pop

« C’est après mon premier passage radio du titre « C’était l’heure » sur le Mouv’, réalisé dans ma chambre par 39 de fièvre que j’ai compris que « C’était l’heure, sans leurre évidemment » de me lancer. »

Cette jeune auteur, compositeur, interprète a longtemps gravité entre plusieurs disciplines artistiques comme violoniste dans l’orchestre de l’académie de Paris, la danse, le studio d’enregistrement, le théâtre et le cinéma où elle réalisa 2 courts métrages. Un panel large qui lui permettra plus tard d’assumer son projet solo, qu’elle vous présente aujourd’hui.
Sur scène, accompagnée de son violon, sa guitare et ses machines, Adella nous embarque immédiatement dans son univers par ses mélodies ravageuses et des textes qui font mouches. Une voix sensuelle et suave qu’on a déjà pu entendre sur le single de Luke « Pense à moi ».
Une production qui apporte quelque chose de différent, une sonorité, un style, des refrains qui nous collent à la peau, des orchestrations et une atmosphère qui nous rappelle un moment vécu.
Parisienne depuis toujours, rêveuse, nostalgique et romantique Adella nous raconte l’intimité de ses amours.

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Témoignage de Adella

LIDIOP PRINCE BAYE FALL – MUSIQUE – REGGAE / POP / SOUL
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LIDIOP PRINCE BAYE FALL – MUSIQUE – REGGAE / POP / SOUL

ALY DIOP a grandi dans un environnement de mélomanes REGGAE, musique d’où lui proviennent donc ses premières influences. Très tôt attiré par le reggae et le rap, Aly a commencé a reprendre les hits jamaïcains de l’époque et s’est rapidement initié au chant et au toast.
LIDIOP a débuté sa vie artistique en 1994, à l’école primaire, dans le groupe YONNE BI POSSE, créé avec son frère et un ami qui partageaient sa passion pour le rap. La formation s’arrêta pour cause de déménagement. 
Il a démarré sa carrière solo et a gagné ses galons sur la scène sénégalaise à partir de 2005. La particularité de son style lui a apporté de nombreuses connexions et lui a permis d’assurer la première partie d’artistes et groupes de renom, comme Frère Guisse Carlou. Il a participé à de nombreux projets et concours et intégré le collectif de musiciens reggae NATURAL MYSTIK VIBS (avec Natty Jean et autres). En 2009, il a participé à l’émission de télé-réalité SUPER STAR diffusée sur la RTS1 puis, en 2011, à RELEVE BI. Son parcours lui a fourni une grande reconnaissance sur le plan national.
Aujourd’hui Lidiop est installé à Paris, pour se faire connaître du public français et européen, partager sa musique et préparer la sortie de son premier album, qui verra la participation d’artistes tels que Meta and The Cornerstones. 
Sa devise est : “just living simple and be very humble, humility simpliciy is the way of my life”.
 

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Pihpoh – Musique – Rap
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Pihpoh – Musique – Rap

 » Pihpoh décrit, écrit et crie ses aventures avec un optimisme délayé dans le réel. Il démontre de sa plume acerbe qu’écrire est aussi une manière de mûrir. Largement rodé au cours d’une centaine de concerts et de ses tournées à l’étranger, son style s’enrichit sans cesse au hasard des rencontres, des galères et de réussites. Pihpoh transite au carrefour des cultures urbaines du monde entier nourrissant la sphère musicale de chroniques singulières. Le sens de ses textes forme la trajectoire d’histoires qui traitent du quotidien, de l’amour, de l’ego et de l’autre dévoilant ainsi l’intimité d’un caractère assumé.  »
Crédit bio : Benjamin blanc
Crédit photo : Simon Bonneau

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Témoignage de PIHPOH

In the can – Musique – pop / folk / rock / blues ou indé
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In the can – Musique – pop / folk / rock / blues ou indé

Le groupe In The Can est né il y a bientôt 7 ans dans la banlieue de Meaux en Seine et Marne. Le groupe est composé de Neil Chablaoui, guitariste et chanteur, de Julian Chablaoui à la basse, guitare et aux chœurs et d’un batteur additionnel.

La musique a toujours fait partie de la vie des deux frères et très tôt, ils commencèrent à apprendre et jouer des reprises ensemble, en autodidacte, ce n’est qu’après le long séjour artistique de Neil en Angleterre et le développement de nombreuses compositions qu’ils penchent pour le son chaud et authentique de la guitare acoustique et en font une marque de fabrique, avec pour objectif d’envoyer autant d’énergie qu’un groupe de rock électrique!

Influencés par The John Butler Trio, Ben Harper, Led Zeppelin, Red Hot Chili Peppers et autres, leur amour pour la musique les a toujours poussés à expérimenter de nouvelles couleurs, qu’elles soient pop, folk, rock, blues ou indé.

Avec une centaine de concerts à leur actif, il en ressort aujourd’hui une synthèse de sonorités qui ne cesse de faire leur réputation dans la région parisienne, utilisant cette alchimie fraternelle autant sur scène que dans les couloirs du métro parisien, chacun de leur passage alimentant le bouche à oreille…

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Tukkiman « Le voyageur » – musique
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Tukkiman « Le voyageur » – musique

« Tukkiman défend une approche humaniste et universelle de la musique, lui qui se définit comme un citoyen du monde… » 
Auteur, compositeur, arrangeur, multi-instrumentiste et autodidacte, Tukkiman livre un premier album éponyme, Tukki. Il y défend une approche humaniste et universelle de la musique, lui qui se définit comme un citoyen du monde. À cause de son héritage sans doute. À la fois, il appartient à cette première génération d’artistes sénégalais biberonnés au hip hop américain ou à la pop anglaise. Un environnement qui le façonne, forge pour lui cette identité musicale suspendue, en perpétuel devenir. Dans les années 90, il apprend seul à jouer de la guitare.
Puis, toujours en dilettante, il s’essaie au piano, écrit ses premiers textes, monte son propre studio. Littéralement, il trouve asile dans la musique
et définit les contours de son propre style.
Aujourd’hui, dans ce premier jet musical en solo, il délivre une production hybride, mâtinée de compositions inspirées, ambitieuses et abouties.
« JE N’ÉCRIS PAS MES CHANSONS, C’EST LA MUSIQUE QUI ME LES DICTE »
Et lorsqu’il s’agit du processus de création, Tukkiman contourne la fabrique des lieux-communs, des préjugés. Il envoie valser toutes ces cases dans lesquelles ses observateurs aimeraient le cantonner.
Car comme sa musique, Tukkiman est libre. Libre de s’exprimer en anglais et si peu en wolof par exemple.

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www.tukkiman.com

Témoignage de Tukkiman

Sidyson KS – musique – afro/soûl blues/wolof
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Sidyson KS – musique – afro/soûl blues/wolof

Sidyon KS est un artiste auteur compositeur né à Dakar au Sénégal.
Évoluant entre Paris, Amsterdam et Dakar, artiste de renommé internationale il continue son parcours artistique un peu partout dans le monde. En tant que guitariste il compose ses propres morceaux. Il a commence sa carrière au Sénégal avec le groupe « Caméléon » composé Carlew Sow Tukkiman et lui-même en participant à des émissions de télé-réalité telles que « Talent caché » et « Hip hop feeling » sur la chaîne « 2stv ». 
Ses styles musicaux sont l’afro, la soûl, le napo et le blues wolof.
Il est membre du collectif « Galsen in Paris » basé à Paris, connu pour les spectacles dans le métro et dans de grandes salles comme le Cabaret Sauvage, La Bellevilloise ou Les Docks à Saint Denis où il s’est produit avec Domou Djollof Production.

Il a fait la première partie de Sizzla et Movado, et plusieurs duos avec des artistes étrangers : avec Gorsafara  il a sorti « Enemiz », « Smile on your face » et « Sambalee »; avec Tukkiman il joue dans « Africa is now » et « Last call »; avec Constance il sort « Crazy about you » et avec Dj toonsy il joue »Guide me gal » et « Abana »disponible sur Itunes.  

Artiste éclectique, Sidyson prépare son album avec un label indépendant « Mbir production » avec la participation de nombreux artistes.  Son album est tant attendu par son public français et africain. 

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Sidyson, pourquoi tu as rejoint notre asso ?

The Buns – Musique – Rock
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The Buns – Musique – Rock

« The Buns » (les « chignons ») ? Le nom annonce la couleur : des filles, un joyeux mélange de frivolité et de virulence rock, à l’image de leur musique, un garage sans fioritures (à deux), qui conserve, dans les voix et la mélodie, une enchanteresse douceur pop. Après l’ep « The true story of Molly Jin & June Cooper » (2013) et un single « I Want » (2014) qui jouaient, avec une bonne dose de second degré, sur une image de dactylos fifties en pleine émancipation garage, le duo féminin revient avec un premier album réalisé par le pape de l’enregistrement analogique Liam Watson (The White Stripes, The Kills, etc.) qui remet les choses à leur place : on a affaire à un groupe dense, puissant, sans fioritures, moderne et toujours plein d’humour.

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Emmanuelle Guichet – danseuse – jazz/contemporain/ragga dancehall
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Emmanuelle Guichet – danseuse – jazz/contemporain/ragga dancehall

Emmanuelle Guichet, 19 ans, étudiante en communication et arts du spectacle cirque et danse et en danse à l’isdaT – institut supérieur des arts de Toulouse. Elle pratique la danse (jazz, classique, contemporain, ragga dancehall) depuis ses 11 ans et le cirque depuis ses 14 ans (corde lisse, mât chinois, portés, contorsion, assistante magie). Suite au concours UPPA danse 2016, participe à la création Brouill’ArtA de Frédéric Faula (joué à Biarritz, Pau, Bordeaux et Bayonne).

Emmanuelle se produit dans des espaces culturels et sur la scène de la Fabrique à Toulouse dans le cadre de sa formation supérieure. Elle participe également à la création de Patrice Paoli dans le cadre de l’isdaT.

A retrouver sur : 

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Emmanuelle, pourquoi es-tu marraine de notre asso ?

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